1 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 3. Anatomie du monstre
1 mme il bafouillent leur « par cœur non compris ». Aux yeux de beaucoup de gens, la passion est aveuglante : cela tient pour une bon
2 quand on leur dit que la Suisse est caractérisée, aux yeux de l’étranger impartial, par sa culture intensive et extensive des veaux
2 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 3. Anatomie du monstre
3 nt ils bafouillent leur « par cœur non compris ». Aux yeux de beaucoup de gens, la passion est aveuglante : cela tient pour une bon
4 quand on leur dit que la Suisse est caractérisée, aux yeux de l’étranger impartial, par sa culture intensive et extensive des veaux
3 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
5 iants, voilà qui suffira peut-être à le justifier aux yeux de quelques-uns. Paris, avril 1930. 13. C’est ici que paraît tout de m
4 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
6 nt pour qu’on les relève. Elles : des Vénitiennes aux yeux de plaine, comme les autres ont des yeux de mer. Des grâces d’amazones a
7 ir tous par soi-même. Et c’est alors seulement qu’ aux yeux de ceux qui surent désirer de la voir, apparaît la « Loge » invisible. J
5 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Une exposition d’artistes protestants modernes (avril 1931)
8 ou qui expliqueront dès l’abord, et légitimeront aux yeux de beaucoup, le choix des œuvres exposées. Il ne s’agit nullement de pré
6 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
9 l’occasion de revenir. 18. Il est absurde, voire aux yeux de la foi scandaleux de parler de conversion d’un protestantisme au cath
7 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
10 a point empêché ces trois romans de faire figure, aux yeux de beaucoup, de livres « bien protestants ». Je serais même tenté de dir
11 nt au jour leurs faussetés et qu’ils se trouvent, aux yeux de l’esprit, le plus durement jugés. Était-ce affaiblissement de notre f
12 tuel du protestantisme du xixe siècle se réduit, aux yeux de nos contemporains, à un moralisme libéral. Nous savons ce qu’une tell
8 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
13 son intérêt humain. Et si tout cela reste absurde aux yeux de ceux pour qui seule compte certaine « originalité » dans l’ordre — au
9 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Goethe, chrétien, païen (avril 1932)
14 nquant de quelque chose. Or, ce « quelque chose » aux yeux de la foi, constitue sa raison d’être. Il n’y a pas de neutralité du mon
10 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
15 t possible que du même —, et le paradoxe apparaît aux yeux de ceux pour qui la religion n’est qu’assurance, comme une dérision dése
11 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
16 nt pour qu’on les relève. Elles : des Vénitiennes aux yeux de plaine, comme les autres ont des yeux de mer. Des grâces d’amazones a
17 ir tous par soi-même. Et c’est alors seulement qu’ aux yeux de ceux qui surent désirer de la voir, apparaît la « Loge invisible ». J
12 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
18 t possible que du même —, et le paradoxe apparaît aux yeux de ceux pour qui la religion n’est qu’assurance, comme une dérision dése
13 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
19 nt pour qu’on les relève. Elles : des Vénitiennes aux yeux de plaine, comme les autres ont des yeux de mer. Des grâces d’amazones a
20 ir tous par soi-même. Et c’est alors seulement qu’ aux yeux de ceux qui surent désirer de la voir, apparaît la « Loge invisible ». J
14 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — I
21 n, tout devient si complexe et souvent si bizarre aux yeux de la plupart des étrangers, qu’on en reste soi-même étonné. Principauté
15 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — IV
22 e toute autre considération sur ce sujet semblait aux yeux de mon père indigne d’une pensée. Et certes, il n’en parlait jamais. Le
16 1933, Le Semeur, articles (1933–1949). Humanisme et christianisme (mars 1933)
23 l’on s’accorde à tenir pour malade actuellement ? Aux yeux de certains humanistes, peut-être. Aux yeux du chrétien, non ; le confli
24 à l’homme des assurances. Car l’humanisme n’est, aux yeux de la foi, qu’une vaste entreprise d’assurance-vie. L’humaniste pourra r
17 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Les parlementaires contre le Parlement (octobre 1933)
25 nuire, que peut bien représenter un parlementaire aux yeux de celui qui le nomme ? Plus rien qu’une machine à recommandation inutil
18 1933, Articles divers (1932-1935). Jeune Europe (4 décembre 1933)
26 aujourd’hui une lacune qui justifiait trop bien, aux yeux de l’étranger, la réputation de « statisme » que l’on veut faire à la Fr
19 1934, Journal de Genève, articles (1926–1982). Sara Alelia (25 mai 1934)
27 dans les choses, un mystère inquiétant se révèle aux yeux de celui qui sait voir parce que, mieux que d’autres, il sait aimer. Et
20 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
28 : 1° La crise actuelle est en train de manifester aux yeux de beaucoup de Français l’impuissance des vieilles formules marxistes ou
21 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Au sujet d’un roman : Sara Alelia (3 novembre 1934)
29 dans les choses, un mystère inquiétant se révèle aux yeux de celui qui sait voir, parce que, mieux que d’autres, il sait aimer. Et
22 1934, Politique de la personne. Idoles — Humanisme et christianisme
30 l’on s’accorde à tenir pour malade actuellement ? Aux yeux de certains humanistes, peut-être. Aux yeux du chrétien, non ; le confli
31 à l’homme des assurances. Car l’humanisme n’est, aux yeux de la foi, qu’une vaste entreprise d’assurance-vie. L’humaniste pourra r
23 1934, Politique de la personne. Idoles — Fascisme
32 aturel. Par là même, elles sont mieux justifiées, aux yeux de l’incroyant du moins, que les prétentions du fascisme, fondées sur un
24 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Humanisme et christianisme
33 l’on s’accorde à tenir pour malade actuellement ? Aux yeux de certains humanistes, peut-être. Aux yeux du chrétien, non ; le confli
34 à l’homme des assurances. Car l’humanisme n’est, aux yeux de la foi, qu’une vaste entreprise d’assurance-vie. L’humaniste pourra r
25 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Fascisme
35 aturel. Par là même, elles sont mieux justifiées, aux yeux de l’incroyant du moins, que les prétentions du fascisme, fondées sur un
26 1935, Présence, articles (1932–1946). Contre Nietzsche (avril-mai 1935)
36 a vocation — qui caractérisera le monde bourgeois aux yeux de l’historien personnaliste, encore que très peu de bourgeois aient eu
27 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que l’autorité ? (mai 1936)
37 ntendus se donnent libre cours. Le « spirituel », aux yeux de la grande masse, est à peu près synonyme d’impuissance, et il est mép
28 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — D’une culture qui parle dans le vide
38 urs de la lumière. Le sens du passé n’apparaît qu’ aux yeux de qui sait voir les aboutissements actuels dans une perspective ouverte
29 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Hegel, Comte, Marx, ou la rationalisation
39 ient la garantie d’une distinction qui les honore aux yeux de la nouvelle société. En effet, cette nouvelle société est celle des b
30 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
40 source de l’angoisse d’un peuple, et d’incarner, aux yeux de ce peuple, une réponse libératrice.) Personne n’a davantage que l’All
31 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
41 des modes actuels de la propriété peut obscurcir, aux yeux de mes contemporains, les liaisons essentielles du communisme et du capi
32 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
42 notre liberté est défini par cette contradiction. Aux yeux de Dieu, notre acte est seulement restaurateur. À la mesure de sa violen
33 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — D’une culture qui parle dans le vide
43 urs de la lumière. Le sens du passé n’apparaît qu’ aux yeux de qui sait voir les aboutissements actuels dans une perspective ouverte
34 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Hegel, Comte, Marx, ou la rationalisation
44 ient la garantie d’une distinction qui les honore aux yeux de la nouvelle société. En effet, cette nouvelle société est celle des b
35 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
45 source de l’angoisse d’un peuple, et d’incarner, aux yeux de ce peuple, une réponse libératrice.) Personne n’a davantage que l’All
36 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
46 des modes actuels de la propriété peut obscurcir, aux yeux de mes contemporains, les liaisons essentielles du communisme et du capi
37 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
47 notre liberté est défini par cette contradiction. Aux yeux de Dieu, notre acte est seulement restaurateur. À la mesure de sa violen
38 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
48 out prévu — peut aussi tout changer en un instant aux yeux de l’homme, sans que rien soit changé de ce qu’a décidé Dieu, de ce qu’i
49 rature et scolastique. Il n’en reste pas moins qu’ aux yeux de la raison — cette folle comme le répète Luther —, ce que nous nommons
39 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
50 presse, un « intellectuel en chômage. » (Écrire, aux yeux de ces paysans, ne signifie proprement rien. S’ils ont un peu de respect
40 1937, Esprit, articles (1932–1962). Martin Lamm, Swedenborg (septembre 1937)
51 aient également de la fantaisie la plus échevelée aux yeux de la science d’avant Einstein… Tout ceci tendait à prouver que le probl
41 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
52 refusons à voir, à dire, à illustrer, à incarner aux yeux de tous les grandes et fortes raisons de notre neutralité, celle-ci sera
42 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
53 incères comprendront-ils que cette méthode figure aux yeux de qui n’a pas leur « foi », nécessairement, un simple opportunisme ? Qu
43 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
54 e que rien ne paraît motiver aux yeux d’autrui ou aux yeux de ma raison ? Et si je n’avais pas une croyance secrète et puissante en
44 1937, Articles divers (1936-1938). Luther, Traité du serf arbitre (1937)
55 out prévu — peut aussi tout changer en un instant aux yeux de l’homme, sans que rien soit changé de ce qu’a décidé Dieu, de ce qu’i
56 rature et scolastique. Il n’en reste pas moins qu’ aux yeux de la raison — cette folle, comme le répète Luther — ce que nous nommons
45 1938, Articles divers (1936-1938). Søren Kierkegaard (février 1938)
57 ter était un témoin de la vérité. Cas symbolique aux yeux de Kierkegaard. Il fallait un rappel à l’ordre. Il le devint lui-même, d
46 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
58 perspective, caractérise fort bien l’opposition. Aux yeux de l’Église, l’adultère était tout à la fois un sacrilège, un crime cont
47 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
59 lement impartageable et indicible, qui s’opposait aux yeux de Kierkegaard à un mariage heureux selon le monde. Ici l’obstacle indis
60 u de l’absurde », c’est une scandaleuse tricherie aux yeux de qui ne croit pas à l’absurde ; mais c’est plus qu’une synthèse, et in
61 Mais cette « raison » est tout à fait inefficace aux yeux de qui préfère le mythe, et veut croire aux révélations de la passion.
48 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
62 Le Christ n’est pas mort en héros, mais en paria, aux yeux de sa nation. Comme je sortais, vivement impressionné par le courage sér
49 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). L’ère des religions (22 février 1939)
63 ps refoulée et niée. L’histoire de l’après-guerre aux yeux de nos descendants sera peut-être moins l’histoire des traités et de leu
64 artir de laquelle il n’y a plus ni Juifs ni Grecs aux yeux de l’esprit. Elle ne demande pas : que crois-tu ? qu’espères-tu ? mais e
50 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
65 , pour se confondre avec cet Indicible qui reste, aux yeux de la chair, le pur Néant. Ainsi, le terme de la quête romantique, à tra
51 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
66 dès que les amants ont bu le philtre est un péché aux yeux de l’amour courtois non moins qu’aux yeux de la morale chrétienne et féo
67 n péché aux yeux de l’amour courtois non moins qu’ aux yeux de la morale chrétienne et féodale. Mais sans cette faute initiale, il n
52 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
68 attrait nocturne des sexes. Le grand Jour incréé, aux yeux de la chair, n’est que la Nuit. Mais notre jour, aux yeux du dieu qui ré
53 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
69 ables de rien, leur passion étant inavouable tant aux yeux de la société (qui la réprouve comme un crime) qu’à leurs yeux propres (
70 hart figura l’hérésie que j’appelle « orientale » aux yeux de Ruysbroek l’Admirable. ⁂ Ruysbroek se montre impitoyable contre celui
54 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
71 perspective, caractérise fort bien l’opposition. Aux yeux de l’Église, l’adultère était tout à la fois un sacrilège, un crime cont
55 1939, L’Amour et l’Occident. L’Amour action, ou de la fidélité
72 lement impartageable et indicible, qui s’opposait aux yeux de Kierkegaard à un mariage heureux selon le monde. Ici l’obstacle indis
73 u de l’absurde », c’est une scandaleuse tricherie aux yeux de qui ne croit pas à l’absurde ; mais c’est plus qu’une synthèse, et in
74 Mais cette « raison » est tout à fait inefficace aux yeux de qui préfère le mythe et veut croire aux révélations de la passion. 2
56 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
75 dès que les amants ont bu le philtre est un péché aux yeux de l’amour courtois non moins qu’aux yeux de la morale chrétienne et féo
76 n péché aux yeux de l’amour courtois non moins qu’ aux yeux de la morale chrétienne et féodale. Mais sans cette faute initiale, il n
57 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
77 attrait nocturne des sexes. Le grand Jour incréé, aux yeux de la chair, n’est que la Nuit. Mais notre jour, aux yeux du dieu qui ré
78 nt sanctionner après coup tout ce que condamnent, aux yeux de Gottfried et des hérétiques de son temps, l’Évangile « pur » et la gn
79 e du jugement de l’Église et du siècle, complices aux yeux de Gottfried et des cathares. Mais ceci jette un jour assez étrange sur
58 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
80 ables de rien, leur passion étant inavouable tant aux yeux de la société (qui la réprouve comme un crime) qu’à leurs yeux propres (
81 hart figura l’hérésie que j’appelle « orientale » aux yeux de Ruysbroek l’Admirable. ⁂ Ruysbroek se montre impitoyable contre celui
59 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
82 perspective, caractérise fort bien l’opposition. Aux yeux de l’Église, l’adultère était tout à la fois un sacrilège, un crime cont
60 1939, L’Amour et l’Occident (1956). L’amour action, ou de la fidélité
83 lement impartageable et indicible, qui s’opposait aux yeux de Kierkegaard à un mariage heureux selon le monde. Ici l’obstacle indis
84 u de l’absurde », c’est une scandaleuse tricherie aux yeux de qui ne croit pas à l’absurde ; mais c’est plus qu’une synthèse, et in
85 Mais cette « raison » est tout à fait inefficace aux yeux de qui préfère le mythe et veut croire aux révélations de la passion. 2
61 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
86 dès que les amants ont bu le philtre est un péché aux yeux de l’amour courtois non moins qu’aux yeux de la morale chrétienne et féo
87 n péché aux yeux de l’amour courtois non moins qu’ aux yeux de la morale chrétienne et féodale. Mais sans cette faute initiale, il n
62 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
88 attrait nocturne des sexes. Le grand Jour incréé, aux yeux de la chair, n’est que la Nuit. Mais notre jour, aux yeux du dieu qui ré
89 nt sanctionner après coup tout ce que condamnent, aux yeux de Gottfried et des hérétiques de son temps, l’Évangile « pur » et la gn
90 e du jugement de l’Église et du siècle, complices aux yeux de Gottfried et des cathares. Mais ceci jette un jour assez étrange sur
63 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
91 ables de rien, leur passion étant inavouable tant aux yeux de la société (qui la réprouve comme un crime) qu’à leurs yeux propres (
92 hart figura l’hérésie que j’appelle « orientale » aux yeux de Ruysbroek l’Admirable. ⁂ Ruysbroek se montre impitoyable contre celui
64 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
93 perspective, caractérise fort bien l’opposition. Aux yeux de l’Église, l’adultère était tout à la fois un sacrilège, un crime cont
65 1939, L’Amour et l’Occident (1972). L’amour action, ou de la fidélité
94 Mais cette « raison » est tout à fait inefficace aux yeux de qui préfère le mythe et veut croire aux révélations de la passion. O
95 lement impartageable et indicible, qui s’opposait aux yeux de Kierkegaard à un mariage heureux selon le monde. Ici l’obstacle indis
96 u de l’absurde », c’est une scandaleuse tricherie aux yeux de qui ne croit pas à l’absurde ; mais c’est plus qu’une synthèse, et in
66 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. III : Pourquoi nous devons rester neutres (9 mars 1940)
97 Comment justifions-nous, dans cette guerre-ci, aux yeux de l’Europe et à nos propres yeux, notre situation privilégiée de neutre
67 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. IV : Notre « mission spéciale » (16 mars 1940)
98 ue de la Suisse, c’est de défendre et d’illustrer aux yeux de l’Europe le principe du fédéralisme ; principe, notons-le bien, radic
68 1940, Articles divers (1938-1940). Le petit nuage (avril 1940)
99 ont pas toujours, car leur folie devient évidente aux yeux de tous. » Plt D. de Rougemont 6. Bien entendu, si je suis vivant aprè
69 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’heure sévère (juin 1940)
100 el ? Question stupide et irritante, n’est-ce pas, aux yeux de qui refuse d’envisager la vie comme une totalité orientée par l’espri
101 ir refusées, avant qu’elles montrent leurs effets aux yeux de tous. « Mea culpa » des pacifistes, qui n’ont pas su imaginer le mal
70 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure sévère (juin 1940)
102 el ? Question stupide et irritante, n’est-ce pas, aux yeux de qui refuse d’envisager la vie comme une totalité orientée par l’espri
103 ir refusées, avant qu’elles montrent leurs effets aux yeux de tous. Mea culpa des pacifistes, qui n’ont pas su imaginer le mal par
71 1940, Mission ou démission de la Suisse. Neutralité oblige, (1937)
104 refusons à voir, à dire, à illustrer, à incarner aux yeux de tous les grandes et fortes raisons de notre neutralité, celle-ci sera
72 1940, Mission ou démission de la Suisse. La Suisse que nous devons défendre
105 , comment justifier encore, dans cette guerre-ci, aux yeux de l’Europe et à nos propres yeux, notre situation privilégiée de neutre
106 ue de la Suisse, c’est de défendre et d’illustrer aux yeux de l’Europe le principe du fédéralisme ; principe, notons-le bien, radic
73 1942, La Part du diable. L’Incognito et la Révélation
107 r de cette manière convoiteuse, il se trouvait qu’ aux yeux de Dieu c’était le mal… Ainsi la tentation est toujours utopie, — si l’u
108 l paraît dangereux. Sa propre action le dissimule aux yeux de celui qu’elle domine. Il s’évanouit dans son succès, et son triomphe
109 une apparence moyenâgeuse qui le rend inoffensif aux yeux de la plupart d’entre nous. Car si le diable est simplement le démon rou
74 1942, La Part du diable. Hitler ou l’alibi
110 l’espèce de douceur médiumnique dont il la revêt aux yeux de son peuple. Ce n’est pas d’envahir un petit pays qui est diabolique,
75 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
111 et décrétant qu’il n’est plus d’autre vérité. Or aux yeux de ceux qui les servent, l’homme n’existe qu’en elles et par elles. Dans
112 as le geste de manger une pomme qui était mauvais aux yeux de l’Éternel, ni la pomme en soi (au contraire), mais seulement la révol
76 1942, La Part du diable (1944). L’Incognito et la Révélation
113 r de cette manière convoiteuse, il se trouvait qu’ aux yeux de Dieu c’était le mal, c’était contrevenir au plan d’ensemble et aux or
114 et le Mal en soi ne sont réellement distincts qu’ aux yeux de Dieu — pas même aux yeux du diable, toujours la dupe d’un acte de cha
115 ion de nos erreurs hors de nous-mêmes, obnubilant aux yeux de notre orgueil la Création parfaite et la figure du diable. C’est plus
116 l paraît dangereux. Sa propre action le dissimule aux yeux de celui qu’elle domine. Il s’évanouit dans son succès, et son triomphe
77 1942, La Part du diable (1944). Hitler ou l’alibi
117 ’espèce de douceur médiumnique dont il la revêtit aux yeux de son peuple. De l’aventure connue sous le nom d’hitlérisme, dégageons
78 1942, La Part du diable (1944). Le diable démocrate
118 de la foi ou du mal absolu. Ce qui paraît absurde aux yeux de la raison, la foi l’accepte comme étant la position d’une réalité éte
79 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
119 et décrétant qu’il n’est plus d’autre vérité. Or aux yeux de ceux qui les servent, l’homme n’existe qu’en elles et par elles. Dans
120 as le geste de manger une pomme qui était mauvais aux yeux de l’Éternel, ni la pomme en soi (au contraire), mais seulement la révol
80 1942, La Part du diable (1982). L’Incognito et la révélation
121 r de cette manière convoiteuse, il se trouvait qu’ aux yeux de Dieu c’était le mal, c’était contrevenir au plan d’ensemble et aux or
122 et le Mal en soi ne sont réellement distincts qu’ aux yeux de Dieu — pas même aux yeux du diable, toujours la dupe d’un acte de cha
123 ion de nos erreurs hors de nous-mêmes, obnubilant aux yeux de notre orgueil la Création parfaite et la figure du diable. C’est plus
124 l paraît dangereux. Sa propre action le dissimule aux yeux de celui qu’elle domine. Il s’évanouit dans son succès, et son triomphe
81 1942, La Part du diable (1982). Hitler ou l’alibi
125 ’espèce de douceur médiumnique dont il la revêtit aux yeux de son peuple. De l’aventure connue sous le nom d’hitlérisme, dégageons
82 1942, La Part du diable (1982). Le diable démocrate
126 de la foi ou du mal absolu. Ce qui paraît absurde aux yeux de la raison, la foi l’accepte comme étant la position d’une réalité éte
83 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
127 et décrétant qu’il n’est plus d’autre vérité. Or aux yeux de ceux qui les servent, l’homme n’existe qu’en elles et par elles. Dans
128 as le geste de manger une pomme qui était mauvais aux yeux de l’Éternel, ni la pomme en soi (au contraire), mais seulement la révol
84 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable I : « Je ne suis personne » (15 octobre 1943)
129 une apparence moyenâgeuse qui le rend inoffensif aux yeux de la plupart d’entre nous. Car si le diable est simplement le démon rou
85 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable III : diable et sexe (29 octobre 1943)
130 as le geste de manger une pomme qui était mauvais aux yeux de l’Éternel, ni la pomme en soi (au contraire), mais seulement la révol
86 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable V : Le tentateur (12 novembre 1943)
131 r de cette manière convoiteuse, il se trouvait qu’ aux yeux de Dieu c’était un mal… Ainsi la tentation est toujours utopie — si l’ut
87 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable XI : Le diable dans nos dieux (24 décembre 1943)
132 et décrétant qu’il n’est plus d’autre vérité. Or, aux yeux de ceux qui les servent, l’homme n’existe qu’en elles et par elles. Dans
88 1944, Les Personnes du drame. Introduction
133  cachée avec le Christ en Dieu » — et ce n’est qu’ aux yeux de la foi que certains de nos actes apparaissent comme attestant notre o
89 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Le silence de Goethe
134 son intérêt humain. Et si tout cela reste absurde aux yeux de ceux pour qui seule compte certaine originalité dans l’ordre — au mie
90 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
135 oire, la dialectique, finalement l’homme lui-même aux yeux de l’homme. Il a voulu chasser du monde le paradoxe et le scandale du so
91 1944, Les Personnes du drame. Liberté et fatum — Luther et la liberté de la personne
136 out prévu — peut aussi tout changer en un instant aux yeux de l’homme, sans que rien ne soit changé de ce qu’a décidé Dieu, de ce q
137 ure et scolastique67. Il n’en reste pas moins qu’ aux yeux de la raison — cette folle, cette fille publique, comme le répète Luther
138 ois dans cette volonté de se réduire à un absurde aux yeux de qui refuse sa décision. Mais alors on peut se demander si ceux qui r
92 1944, Les Personnes du drame. Une maladie de la personne — Le romantisme allemand
139 , pour se confondre avec cet Indicible qui reste, aux yeux de la chair, le pur Néant. Ainsi le terme de la quête romantique, à trav
93 1944, Articles divers (1941-1946). Les règles du jeu dans l’art romanesque (1944-1945)
140 ventions sera tenue pour avantage, et compensera, aux yeux de ses contemporains, l’absence de mérite esthétique. (Alors que la prem
94 1945, Le Semeur, articles (1933–1949). La responsabilité culturelle de l’Église (mars 1945)
141 torité effective. Elles cesseront de s’identifier aux yeux de l’homme de la rue à une certaine classe sociale, à un ordre établi, o
95 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Le mensonge allemand (16 août 1945)
142 elle qu’elle s’offre en Allemagne et aujourd’hui, aux yeux de ceux qui doivent en décider. Une anecdote la résumera. Dans une ville
96 1946, Articles divers (1941-1946). La fin du monde (juin 1946)
143 Le Bas-Empire ne fut « bas », en son temps, qu’ aux yeux de ceux qu’une réalité nouvelle illuminait. Sans la vie, que dire de la
97 1946, Combat, articles (1946–1950). Bikini bluff (2 juillet 1946)
144 équipes. Mais sans doute ne l’a-t-elle gagnée qu’ aux yeux de l’opinion publique. Les vrais arbitres restent les savants. Or, les s
98 1946, Articles divers (1946-1948). Théologie et littérature (1946)
145 efforts de l’avant-garde, d’autant qu’ils jouent, aux yeux de beaucoup et des meilleurs de nos contemporains, le rôle d’une spiritu
99 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
146 ont pas toujours, car leur folie devient évidente aux yeux de tous. » Berne, avril 1940 L’arme secrète de la démocratie, c’es
100 1946, Journal des deux mondes. Intermède
147 ar Hitler. Je suis conscient du léger ridicule qu’ aux yeux de beaucoup présentera cette comparaison, pourtant valable dans le détai